JEAN-CLAUDE RENARD

Jean-Claude Renard en fait une longue critique dans La Revue française de novembre 1948 à propos de La Mystique du Surhomme.

«…Il y a dans cet immense désir d’obtenir l’omniscience et l’omnipotence la beauté d’un orgueil et d’une violence à double face qui ont quelque fois le sens de l’amour et quelquefois celui de la mort.»